Choisir les mauvais associés

Pour les sociétés par actions, l’apport de l’entrepreneur seul ne suffit pas. Tels sont les cas de la SARL et de la société anonyme qui selon la loi, requièrent l’association de deux individus au minimum lors de la constitution du capital social. Pour mener à bien projet, il est donc essentiel de trouver les bons partenaires d’affaires. L’idéal est de choisir des personnes qui partagent les mêmes valeurs, les mêmes ambitions et surtout qui ont les mêmes convictions que vous. À noter qu’il faudra collaborer avec des personnes de confiance qui se donneront corps et âme à l’entreprise.

Opter pour la mauvaise activité

Ce n’est pas faux, tous les entrepreneurs débutent par une idée. Pour faire aboutir son projet, il est donc important de trouver un concept innovant et unique. Le but est d’attirer la clientèle en proposant des produits, des services ou une marque qui ne sont pas encore commercialisés sur le marché. Si le concept existe déjà ou est déjà utilisé par la concurrence, ajoutez un petit plus au vôtre afin de vous démarquer.

L’autofinancement

Pour éviter de déclarer faillite au cours de la première semeuse d’activité, il est essentiel de séparer les biens personnels ses biens professionnels. En d’autres mots, il faut éviter de financer la création de son entreprise avec des apports d’origine personnels. L’emprunt d’argent aux membres de la famille ainsi que l’emprunt d’argent aux amis sont classés dans cette catégorie. Sans oublier les économies personnelles.

Consulter les supports numériques

Différents moyens vous permettent de rester au fait des actualités du marché de la bourse. Si les supports papier (journaux ou magazines spécialisés) offrent des informations complètes, les données fournies demeurent statiques. De plus, la consultation de ce type de support requiert d’y consacrer un certain temps. En revanche, via les supports numériques, il vous est possible d’accéder à des informations en temps réel. C’est ce que vous propose notamment la page http://actu-bourse.fr. Les différentes options de filtrage disponible sur les sites vous permettent d’affiner vos recherches et de passer directement aux données qui vous intéressent.

Passer par un flux RSS

Si vous n’avez pas le temps de consulter systématiquement les sites boursiers, il vous reste toujours les flux RSS. Ces derniers sont un moyen pratique vous permettant d’être alerté sur les actualités qui vous intéressent. Les données transmises par ces flux s’actualisent en permanence et de manière automatique. À l’aide de certains programmes gratuits tels que Feedy ou encore Netvibes, il vous est même possible d’établir des archives d’articles que vous pourrez par la suite revoir plus calmement. Notez cependant que s’en tenir uniquement au flux RSS peut comporter des inconvénients dans la mesure où certains sites ne mettent plus leurs informations à jour.

S’informer grâce à des applications spécifiques

Avec l’avènement du tout numérique, il devient plus simple d’accéder à des informations en ligne et en temps réel, peu importe l’endroit où vous vous trouvez. Si vous êtes désireux de rester à l’affût des dernières actualités du marché boursier, vous pouvez passer par des applications spécifiques. Pour obtenir les cours en temps réel et vous informer des indices de la bourse, vous avez par exemple Euronext qui est une application gratuite disponible sur iPhone. Pour obtenir des informations plus complètes sur l’état du marché boursier en temps réel, vous pouvez consulter Bloomberg. Notez que cette application n’est disponible qu’en anglais et sur iPhone uniquement. Pour les smartphones fonctionnant sous Android, il y a en revanche l’application TradingSat.

Serrez la ceinture pour réduire les dépenses et les dettes

Les dettes s’accumulent puisque vous dépensez plus que vous gagnez. Pour remédier à la situation, il va falloir refaire l’équilibre dans le budget. Prenez une feuille de papier et dressez un tableau à deux colonnes. Sur un côté, vous avez vos revenus mensuels ou autres. Inscrivez les salaires et les gains complémentaires. Faites une somme en bas de page. Dans l’autre colonne, listez toutes vos dépenses pendant un mois. Additionnez le tout pour avoir un total des dépenses. Si vos sorties d’argent sont supérieures à vos gains, c’est que vous vivez au-dessus de vos moyens. Éliminez tous les débours qui peuvent l’être. Réduisez les dépenses qui pourront encore subir un lifting.

Songer aux diverses solutions sur le long terme

Pour ne pas vous endetter, vous devez vous pencher sur les postes qui accaparent tout votre argent. Il faudra trouver un moyen de rester en bonne santé pour ne plus tout dépenser en médicaments et consultations. Adoptez une bonne hygiène de vie. Mangez exclusivement à la maison. Apportez votre repas au bureau. Puis, votre attitude envers la consommation devrait changer. Faites une croix sur le shopping compulsif. Contentez-vous d’acheter uniquement l’essentiel que vous ne pourrez pas contourner. Tenez-vous à une liste préalable des sorties pécuniaires. Osez les distractions qui ne coûtent rien. Le jogging serait un excellent choix. Puis, vous devriez songer à augmenter vos revenus pour mieux couvrir vos dépenses et constituer une économie. A défaut d’une autre solution plus saine, essayez le rachat de crédits et ne vous endettez plus jamais.

Pourquoi ouvrir un contrat d’assurance vie ?

L’assurance vie est un placement sûr pour épargner et faire fructifier votre épargne. Elle est ouverte à tous. Vous pouvez souscrire une assurance vie seul(e) ou avec votre conjoint. Vous pouvez même souscrire un contrat pour vos enfants. C’est un produit patrimonial de long terme très intéressant pour vous aider à vous constituer un patrimoine financier. Quoi qu’il en soit, votre capital n’est pas bloqué et vous pouvez toujours effectuer un retrait quand vous le souhaitez. De plus, la fiscalité sur l’assurance vie est très intéressante. Vous bénéficiez d’une exonération sur les plus-values, d’un abattement fiscal sur les retraits partiels et d’une exonération sur les droits de succession.

Fiscalité sur l’assurance vie : principes

Auparavant, l’assurance vie était soumise au PFL (prélèvement forfaitaire libératoire), mais un nouveau dispositif fiscal a vu le jour depuis le début de l’année 2018. Le PFL consiste à taxer votre assurance vie sur la base d’un prélèvement libératoire de 35 %, 15 % ou 7,5 % en fonction de la durée du contrat qui varie de 4 à 8 ans. Les célibataires bénéficient d’un abattement fiscal annuel de 4 600 euros tandis que les couples obtiennent 9 200 euros. Le gouvernement Macron a mis en place le PFU (prélèvement forfaitaire unique) ou flat tax. Il s’agit d’un prélèvement unique qui sera appliqué sur les dividendes, les intérêts et les plus-values de votre assurance vie. La flat tax sur l’assurance vie définit un prélèvement forfaitaire de 12,8 %. Les abattements sont maintenus après 8 ans de détention. La flat tax est plus avantageuse pour les contrats de moins de 150 000 € dans la mesure où il propose 12,8 % de prélèvement avant 8 ans de détention contre 15 % ou 35 % auparavant avec le PFL.

Flat tax : avantages et inconvénients

La flat tax présente aussi bien des avantages que des inconvénients. D’abord, ce dispositif fiscal offre plus d’avantages pour les contrats de moins de 150 000 €. En cas de rachat de votre assurance vie, la flat tax allège la fiscalité. C’est notamment le cas si vous rachetiez votre assurance vie avant 8 ans. L’impact des taxes forfaitaires sur l’assurance vie en cas de rachat est ainsi limité puisqu’une seule partie du rachat est imposable : les intérêts ou les gains. Au-delà de ce délai de 8 ans, le PFL est plus avantageux pour les contrats de plus de 150 000 €puisqu’il offrait un prélèvement forfaitaire de 7,5 %… Pour rappel, l’assurance vie vous permet d’épargner sur différents supports : supports financiers en actions ou obligations (les unités de compte), supports en euros sécurisés et supports immobiliers (SCPI). Si vous avez investi en SCPI, vous êtes toujours soumis à l’impôt sur la fortune immobilière (IFI). Le taux d’imposition est calculé en fonction de vos unités de compte (UC) ou fractions investies en parts de SCPI.

Choisir le bon placement

Pour choisir le bon investissement, vous devez d’abord définir le but et les motifs qui vous poussent à investir. Premièrement, si vous voulez augmenter la capacité de production pour mieux répondre à des demandes croissantes de produits, l’investissement dans l’achat des matériels est recommandé. Il en est de même pour l’investissement dans le remplacement des matériels devenus obsolètes. Par contre, si vous voulez améliorer les aptitudes des salariés pour avoir une meilleure production avec un taux assez élevé, il vaut mieux choisir un investissement formation pour le capital humain. Et enfin, si vous voulez booster les actifs de la société, il vaut mieux vous focaliser sur l’investissement financier sur les actions de la société. Tout dépend donc principalement du but à atteindre.

Financer son investissement

Le financement de l’investissement peut se faire par autofinancement si le capital de la société est financé par des actionnaires. L’autofinancement est la somme que l’entreprise dédie à ses investissements à partir de ses propres bénéfices. L’investissement peut aussi se faire par des appels d’offre. Ainsi la société peut financer ses investissements sans s’endetter. Ce procédé peut se faire par emprunt auprès du public. L’entreprise émet un emprunt à titre représentatif d’une reconnaissance de dette qui donne droit au paiement annuel d’un intérêt.

Assurer le résultat

Le résultat de l’investissement est le progrès technique ou l’évolution de la découverte ou l’application pratique d’une découverte sous la forme d’un produit ou d’un procédé nouveau à l’invention puis à l’innovation ou la commercialisation d’une invention qui a pour but d’augmenter la productivité. Et cela a un impact direct sur l’emploi. Certes, si la productivité ne change pas, cela a un effet négatif sur l’emploi. Mais si elle augmente, cela peut élargir les débouchés, créer de nouveaux marchés et ainsi ouvrir de nouveaux emplois. L’investissement est le moteur de la croissance et provoque la création de quantité de nouveaux emplois.

Contrôlez vos coûts fixes et variables

En général, les coûts fixes sont récurrents et résultent de relations de longue date avec les fournisseurs de votre entreprise. Afin de les diminuer, on vous recommande de jeter périodiquement un coup d’œil sur les offres du marché. D’autres fournisseurs pourraient vous proposer un meilleur prix. Vous pouvez par exemple faire des appels d’offres afin d’obtenir les propositions de tous les autres fournisseurs. Gérez également les coûts variables (achat de nouveau matériel, coût des campagnes publicitaires, etc.) de votre entreprise. Ces coûts sont-ils proportionnels aux ventes réalisées ? Si vous avez par exemple mené une campagne marketing, vous devriez savoir la stratégie qui a été la plus efficace.

Nouez des partenariats

Le partenariat est une clé du succès des entreprises. On est dans une époque où il est impossible pour une PME de s’isoler et de tout traiter par elle-même tous ses besoins. C’est tout simplement une stratégie contre-productive. Le partenariat vous permet de maîtriser vos coûts, si bien sûr, vous choisit le bon partenaire. Les entreprises ayant besoin d’étiquettes à apposer sur leurs produits ont par exemple tout intérêt à devenir partenaires avec Flyeralarm. Chacun y trouve son compte. Les entreprises bénéficient, en tant que partenaires, d’une offre promotionnelle pour l’impression de leurs étiquettes chez Flyeralarm. Ce qui ferait diminuer leurs charges. La société partenaire quant à elle augmente sa clientèle. Le partenariat est basé sur la réciprocité d’aide et se caractérise par le souci pour l’intérêt mutuel.

Le concept et fonctionnement des banques en ligne

Les banques en ligne ont pour principe de rendre accessibles facilement tous les services bancaires, c’est-à-dire qu’en seulement quelques clics à partir d’un PC, d’une tablette ou d’un Smartphone, les clients peuvent gérer facilement leur compte. Il s’agit donc de simplifier la vie des consommateurs tout en proposant un meilleur tarif. Il suffit que le client se connecte à internet pour accéder immédiatement aux divers services, les mêmes que ceux proposés par les banques traditionnelles, mais en une version plus ludique et plus ergonomique. Avec les banques en ligne, tout peut se faire à distance. Par exemple, un client peut faire un virement, transférer des fonds sur un compte épargne, consulter son historique de compte, contacter un conseiller client, imprimer un RIB, etc. depuis chez lui ou à l’étranger.

Pourquoi les banques en ligne captent de plus en plus de personnes ?

Les consommateurs se penchent de plus en plus vers les services de banques en ligne particulièrement à cause de leurs tarifs qui sont vraiment moins chers par rapport à ceux offerts par les banques traditionnelles. Les frais concernant la tenue des comptes sont généralement très réduits pour les banques en ligne puisqu’elles n’ont pas beaucoup de charges par rapport aux banques classiques. En effet, elles peuvent se permettre de proposer un tarif moins cher puisqu’elles n’ont pas de dépenses sur les frais d’entretien de locaux, du foncier, des salaires des employés, des matériels informatiques, etc. Il s’agit d’une entreprise proposant des services totalement dématérialisés. En outre, les banques en ligne attirent de plus en plus de personnes, car le fonctionnement des banques en ligne est plus simple et il est plus facile pour eux d’accéder aux services que ce soit le jour ou la nuit, à la maison ou dans une voiture. Bref, une banque en ligne est accessible à tout moment, partout et à partir de n’importe quel appareil connecté. C’est pour cela que ce sont les jeunes qui sont les plus captivés par ce service moderne et innovant. Enfin, il faut aussi savoir que la gestion de compte et du budget est plus simple avec les banques en ligne.